Rigaud, 1881 : Garçon que les restaurateurs, et, principalement, les restaurateurs de la banlieue, s’adjoignent le dimanche. Les garçons d’extra n’ont que les pourboires. La plupart du temps ils doivent se contenter, pour nourriture, de la desserte de leurs clients et, pour boisson, des fonds de bouteille. Un extra qui connaît son métier, s’entend avec le chef afin de donner des portions copieuses. Il y en a qui maquillent la carte à payer avec autant d’art que le plus habile des grecs les cartes à jouer.